Un petit nouveau dans l’équipe des « Merveilleux Fous Volants » !
L’homme a toujours voulu voler et cela semble si facile au regard des oiseaux. Mais l’apprentissage de cette discipline est plutôt chaotique. Balthazar préfère s’inspirer de la végétation et notamment des feuilles qui tombent gracieusement. Son projet part donc sur un système à deux hélices à rotation inversée pour porter la masse principale et une hélice arrière pour maintenir le cap… à l’avant deux ailettes aident à la stabilité. Le prototype est d’abord testé en stationnaire pour des raisons de sécurité et après de nombreuses modifications et réglages il prend son envol. Ballons et avions à moteurs ont déjà maitrisé les airs, mais l’héliocop de Balthazar est un engin qui bouleverse les lois de la physique et de l’apesanteur. Il faut avoir l’estomac solide pour piloter un tel engin. Le moteur puissant fait vibrer les pales dans un bruit assourdissant mais il peut faire du sur-place comme un ballon et rivaliser de vitesse avec un avion… une nouvelle génération d’appareils volants est née !
Le corps est une machine à coudre « Singer » avec ses dorures d’origine. Un carburateur en guise de moteur, des pièces de voitures, un réservoir de liquide de frein en verre, des grilles de filtres à essence, des ressorts d’embrayage, pignons, chaine et gaine de frein de vélo, de nombreux éléments de machines à coudre, un siège en aluminium, du cuir et du bois forment cet amalgame de pièces incongrues.
Ajoutée à cela, une bonne dose d’imagination nous donne un engin extraordinaire digne de figurer dans ma liste des « Machines à en découdre » !